De BAAL Joseph à
BAAL Joseph 1922 Audun-le-Tiche (Moselle)
BAAL Joseph est né le 22 mars 1922 à Audun-le-Tiche (Moselle), fils de Georges B., conducteur, décédé et d’Appoline née Schneider. Domicilié à Oberseebach (Bas-Rhin), maitre soudeur aux mines de pétrole de Pechelbronn (Bas-Rhin), il est déporté de 1941 à 1944 au travail dans les mines de pétrole au sud-est de Vienne à Neusiedl (Autriche). Puis il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 12 novembre 1944 lors d’un recrutement à Haguenau (Bas-Rhin), au Grenadier Ausbildungs Bataillon 4 à Dilthal près de Wielum (Pologne) ou Kolbergprès de la mer Baltique (Pologne). Il est fait prisonnier entre le 16 et le 18 janvier 1945 près de Dilthal (Pologne) par l’armée russe. Ses dernières nouvelles datent du 12 novembre 1944. Il n’a pas reparu à son domicile depuis ce jour-là. En avril 1946, sa mère adresse un courrier au Ministre des Prisonniers et Déportés à Paris. Elle indique notamment avoir fait faire 2 expériences avec un pendule et dans les deux cas les résultats sont identiques. D’après le pendule son fils se trouverait dans les Pays Baltes à Survallo ou la proche région. Elle dit qu’elle croit forcément un peu à ce résultat, car une troisième expérience faite par une autre personne avec la photo d’un compatriote, susceptible d’être avec son fils, a indiqué la même région. Cet autre prisonnier est Georges Schauer d’Oberseebach. Le 18 novembre 1946, son frère, Marcel, instituteur à Prémery (Nièvre) adresse un courrier au Directeur des Recensement de Prisonniers à Paris. Il indique qu’il sait que son frère a été incorporé de force sur dénonciation pour avoir pendant de longs mois, ravitaillé des prisonniers russes qui travaillaient avec lui. Le 16 mai 1947, Marcel adresse un courrier à Monsieur François Mitterand, Député de la Nièvre et Ministre des Anciens Combattants. Il indique que son frère s’est laissé enrôlé pour éviter la déportation certaine à sa mère, déjà inquiétée par la Gestapo, du fait que Marcel soitt resté en France en 1940. Un acte de disparition est adressé à sa mère le 15 juin 1947. Son décès est fixé au 18 janvier 1945 en Russie, par un jugement déclaratif prononcé le 14 mars 1962 par le tribunal de Strasbourg (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1964. Il avait 22 ans. Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire de Siemianowice Slaskie (Pologne).
Frédérique Studer 2025 ©
BAAL Pierre Joseph Arthur 1925 Lutterbach (Haut-Rhin)
BAAL Pierre Joseph Arthur est né le 1er novembre 1925 à Lutterbach (Haut-Rhin), fils de Lucien Justin B., chauffeur et de Marie Anne née Senger. Il aurait un enfant. Employé de bureau de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 24 ou le 27 juillet 1943, matricule 1850 dans la Stabs Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon 475 puis au 5. Grenadier Regiment 1096, secteur postal 45994 B, 102 Regiment Döbeln (Allemagne). Il aurait été blessé le 28 février 1944 à Luzsk (Russie) probablement au bras gauche. Le 1er octobre 1944 il écrit la lettre suivante à ses parents : « Mes chers parents, je commence à désespérer car je suis sans nouvelles de vous depuis presque 5 semaines. Je ne peux vraiment pas (barré). Avant-hier, j’ai encore reçu une lettre de (barré) daté du 14 septembre en provenance de Mulhouse. J’espère que vous êtes toujours en bonne santé et plein d’entrain. Pour ma part je le suis à nouveau. Chaque jour j’attends avec impatience quelques lignes de votre part, mais en vain. Lorsque les nouvelles n’arrivent pas, cela me donne l’envie de fuir d’ici. Toute la journée ce sont des tirs dans tous les sens et la nuit il faut se mettre à l’abri, il est impossible de dormir et en plus de cela le courrier n’arrive pas. Alors avant d’avoir eu la lettre de Marcelle, ne sachant plus ce qui se passait, je ne pouvais presque plus manger et dormir. Je sais que vous m’écrivez, mais je ne sais pas où le courrier reste bloqué. Chez nous, en ce moment, les combats sont rudes. Nous avons tenté d’attaquer une base militaire russe, mais c’était en vain et nous avons eu beaucoup de pertes humaines. Nous sommes (barré). Chaque jour nous nous attendons à des attaques russes. Un camarade de mon groupe, un chic type, est aussi tombé après avoir reçu trois tirs de mitrailleuse dans le cou. Eh oui, ça ne rigole pas, mais j’ai toujours espoir que cette guerre va se terminer bientôt. Je vais donc attendre votre prochaine lettre. C’est terminé pour aujourd’hui car il fait froid et mes doigts sont gelés. Pour finir, je vous salue et vous embrasse, votre Pierre. A bientôt, le bonjour aux proches et aussi à la famille Klein ». Il n’a pas reparu à son domicile depuis 1943. Ses dernières nouvelles dateraient du 14 octobre 1944 ou de mars 1945 du front près de Kovno en Lituanie, de la 242. Division, 5. Kompanie. Un acte de disparition est adressé à son père le 25 janvier 1949. Son décès est fixé au 5 octobre 1944 à l’est de Kelme (Lituanie), par un jugement déclaratif prononcé le 16 mars 1955 par le tribunal de Mulhouse (Haut-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1949. Il avait 18 ans. Le nom d’un dénommé Arthur Ret. Baal né le 1er novembre 1944 et décédé le 1er octobre 1944 est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire de Kaunas (Lituanie).
Frédérique Studer 2025 ©
BAAS Charles 1923 Strasbourg
BAAS Charles est né le 24 juin 1923 à Strasbourg (Bas-Rhin). Fils de Charles B., et de Jeanne Marthe née Hertlein. La famille réside au 5 rue des Bonnes Gens à Strasbourg, lorsque Charles est incorporé dans la Wehrmacht, le 17 octobre 1942. Un dossier de disparition est enregistré sous le numéro 302.427. Le 20 avril 1946, le sous-directeur de la documentation et des recherches du ministère de la Population signale que le nom de Charles B., a été relevé au numéro 21 sur la liste « état nominatif des morts du Bas-Rhin » des archives O.K.W (Oberkommando der Wehrmacht), et s’enquiert de savoir si la mairie de Strasbourg a avisé la famille de son décès. Le 20 juin 1946, un acte de décès (n° 3009/1946) est transmis par le 1er bureau d’état civil de Berlin : Charles B., est décédé le 17 juillet 1944 à Burgkowicze (Front de l’Est). Cet acte est retranscrit dans les registres de l’état civil de Strasbourg, le 16 octobre 1947. Le 13 juillet 1946, dans un courrier adressé au ministère de Anciens Combattants, Charles B.(père), demande des précisions concernant l’acte de décès, notamment par quelle autorité cet acte a été avisé et si cette source est sûre. La recherche par secteur postal, FPN 00784/C, apporte plusieurs témoignages de camarades rentrés, qui ont côtoyé Charles : Gustav P., de Niefern/Pforzheim (Allemagne) était dans la même unité, qui a été détruite le 17 janvier 1944 à Schen-Stochau (act. Częstochowa-Pologne). Martin H. de Lichtenegg (Autriche) était avec Charles pendant la retraite de Kowno (act. Kaunas-Lituanie) jusqu’à la Vistule de juin à juillet 1944, il servait dans le 188° régiment d’artillerie, 88° division d’infanterie. Charles était affecté comme téléphoniste, il était soldat ou caporal, il l’a vu pour la dernière fois fin juillet 1944 environ 70-80 kilomètres devant la Vistule. Le 10 février 1951, le ministre des Anciens Combattants fait savoir qu’il faut cesser les recherches concernant Charles, étant donné que son décès a été signifié à la famille dès 1946. Il obtient la mention Mort pour la France en 1956. Il avait 21 ans. Selon le Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge, Charles B., est porté disparu depuis le 1er juin 1944 à Garadha/Luzk/Sirniki/Susk. Son nom est inscrit dans le livre commémoratif de la nécropole allemande de Potelytsch (Ukraine).
Anne-Catherine Vogler 2025 ©
BABILLON Lucien Joseph 1906 Amnéville (Moselle)
BABILLON Lucien Joseph est ne lé 29 septembre 1906 à Amnéville (Moselle), fils de Joseph B., tourneur retraité et de Marie Elisabeth née Ruppert décédée le 27 décembre 1946. Le 24 mai 1935, il épouse à Amnéville, Joséphine Marie Julienne née Herbringer de Rosselange (Moselle). Domicilié à Puttelange-lès-Farschviller (actuel Puttelange-aux-lacs), tourneur sur cylindre de profession, il s’enrôle dans la gendarmerie allemande à Puttelange-lès-Farshviller (Moselle) en mars 1941. Il y reste jusqu’au 26 juin 1943. Ce jour-là, il reçoit un ordre pour se rendre à Lublin en Pologne où il est incorporé de force dans la Wehrmacht, secteur postal 56565 A ou E, sans indication de lieu. Il revient en permission du 3 au 14 avril 1944. Il rejoint ensuite son régiment. Sa dernière lettre à sa femme date du 19 juillet 1944 en provenance de Lublin (Pologne). Le 16 septembre sa femme reçoit un courrier de son unité qui le déclare disparu depuis le 24 juillet 1944. Son grade est sergent-chef. Un acte de disparition est émis le 13 octobre 1954 par le Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre à Paris et adressé à sa femme. Son décès est fixé au 24 juillet 1944, par un jugement déclaratif prononcé le 7 février 1955 par le tribunal de Sarreguemines (Moselle). Il obtient la mention Mort pour la France en 1955. Il avait 37 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BABO Louis 1913 La Broque (Bas-Rhin)
BABO Louis est né le 16 janvier 1913 à La Broque (Bas-Rhin), fils de Jean-Baptiste B., bûcheron et de Marie Madeleine née Ringue, tisserande. Le 19 octobre 1942, il épouse à Schirmeck (Bas-Rhin), Lina née Roser née le 15 novembre 1921 à Hoerdt (Bas-Rhin), serveuse. Boucher de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 10 janvier 1944, lors d’un recrutement à Sélestat (Bas-Rhin), matricule 3201 EMC, dans la Stabs Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon 192 et dans le 3. Grenadier Regiment 1068, secteur postal 04930, sans indication de lieu. Son dernier régiment est le 54. Infanterie Regiment, secteur postal 1041. Ils ont un fils prénommé Jean-Georges. Le 10 décembre 1948, sa femme adresse un courrier au Directeur du Contentieux de l’Etat Civil et des Recherches 1er bureau section des Alsaciens Lorrains dans lequel elle indique être dans une situation très précaire et qu’elle souhaite refaire sa vie. Le 12 janvier le Ministère lui répond en lui indiquant qu’elle ne peut pas contracter un nouveau mariage tant que le décès de son époux n’est pas officiellement déclaré. Le 1er mai 1949 elle renvoie un courrier à la même adresse en indiquant qu’elle est à nouveau enceinte et qu’elle souhaite refaire un foyer. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 15 mai 1944. Sa femme n’a plus de nouvelles de lui depuis le 18 juin 1944. Ses dernières nouvelles datent du 2 juin 1944. Il se trouvait entre Vilno (actuelle Vilnius, Lituanie) et Kaunas (Lituanie). Le 14 août 1944, les allemands arrivent au domicile de sa femme à Labroque, il aurait déserté. Il se pourrait qu’il ait été prisonnier des Russes. Une radio de Stockholm (Suède) aurait donnée de ses nouvelles de Kaunas (Lituanie) le 23 décembre 1945. Un acte de disparition est adressé à sa femme le 30 mai 1947. Son décès est fixé au 19 juillet 1944 à Dovainonys (lituanie), par un jugement déclaratif prononcé le 11 juillet 1949 par le tribunal de Saverne (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France. Il avait 31 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Adolphe 1911 Domfessel (Bas-Rhin)
BACH Adolphe est né le 23 mai 1911 à Domfessel (Bas-Rhin), fils de Philippe B., menuisier et de Catherine née Gerber. Menuisier et cultivateur de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 10 janvier 1944, matricule 2697 dans la 1. Artillerie Ausbildungs Abteilung motorisiert 1. Bataillon 10 à Meissen (Allemagne) puis dans la Stabs Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon 475. Il est affecté le 20 septembre 1944 au 7. Artillerie Regiment 342, secteur postal 37415 B, sans indication de lieu. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 1er juillet 1944. Henri Constans de Diemeringen (Bas -Rhin) indique avoir été avec lui jusqu’au mois de septembre 1944 à 1km de la Vistule. Ensuite ils ont été séparés. Sa dernière lettre à ses parents date du 6 novembre 1944. Il se trouvait à quelques kilomètres de la Vistule. Un acte de disparition est adressé à son père le 8 juillet 1947. La maison de ses parents a été détruite. Le 19 novembre 1959, le Maire de Domfessel indique au chef du 1er bureau des recherches du Ministère des Anciens Combattants que le père d’Adolphe refuse que le décès de son fils soit déclaré par l’autorité judiciaire. Son décès est fixé au 6 novembre 1944 dans le secteur de Varsovie (Pologne), par un jugement déclaratif prononcé le 22 mai 1962 par le tribunal de Saverne (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1962. Il avait 33 ans. Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire de Stare Czarnowo (Pologne).
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Adolphe Philippe 1912 Dehlingen (Bas-Rhin)
BACH Adolphe Philippe est né le 16 mars 1912 à Dehlingen (Bas Rhin), fils de Philippe B. , cultivateur et de Christine née Quien. Cultivateur, marié à Meintzner Albertine, le 27 décembre 1935, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, régiment SP 20.822 B = 9 KP / Polizei Regiment 24 au grade de Anwärter Schutzpolizei. Sans nouvelles de lui depuis juillet 1944 vers Smolensk, il est fait prisonnier le 3 juillet 1944, puis la WAST (Wehrmachtauskunftstelle) informe qu’il est décédé en captivité, d’une pneumonie le 26 août 1944 à l’hopital de Wolsk, territoire de Saratow. La mention Mort pour la France lui est accordée en 1956. Il avait 32 ans.
Denis Parisot 2025 ©
BACH Albert Louis 1913 Lorentzen (Bas-Rhin)
BACH Albert Louis est né le 22 février 1913 à Lorentzen (Bas-Rhin), fils de Henri B. et de Christine née Nehlig. Menuisier de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 24 février 1944, matricule 1599, dans la Ausbildungs Kompanie Ersatz Abteilung 47 Lunebourg (Allemagne), secteur postal 072640 D, Lettonie, puis dans la 6. Kompanie Grenadier Regiment 485. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 25 juillet 1944. Ses dernières nouvelles datent du 28 juillet 1944 de Hambourg (Allemagne). Le 9 août 1944 il est légèrement blessé par un éclat d’obus à Koloje. Un acte de disparition est adressé à son père le 5 janvier 1949. Le 15 avril 1950, le rapatrié Hans Krieger de Ludwigshafen (Allemagne) témoigne qu’il a connu Albert lors d’une instruction à la 263ème division d’infanterie à Kolki dans la région de de Nevel-Velikié Louki (Russie) en juillet-août 1943. Après qu’il ait été formé a l’utilisation de nouvelles armes, il a été envoyé en renfort pour défendre la ligne de chemin de fer Vitebsk-Polotsk(Biélorussie) contre les éventuelles attaques de partisans. Il ne sait pas ce qu’est devenu Albert et indique qu’une vingtaine d’alsaciens-lorrains faisaient partie en juillet-août 1943, de la division d’infanterie 263, secteur postal 39335. Son décès est fixé au 9 août 1944 en Lettonie, par un jugement déclaratif prononcé le 25 novembre 1957 par le tribunal de Saverne (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France. Il avait 31 ans. Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire allemand de Saldus (Lettonie)
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Albert 1922 Rexingen (Bas-Rhin)
BACH Albert est né le 15 décembre 1922 à Rexingen (Bas-Rhin), fils de Michel B., cultivateur et de Caroline née Schmuck. Il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 6 décembre 1942, au grade de caporal, matricule 824, au 7. Grenadier Regiment motorisiert Bataillon 95, secteur postal 09643 B, sans indication de lieu. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 20 septembre 1943. Sa dernière lettre date du 18 août 1944 de Roumanie. Il est porté disparu par son unité le 21 août 1944. Un acte de disparition est adressé à son père le 28 décembre 1948. Son décès est fixé au 18 août 1944 à Cornesti (Roumanie), par un jugement déclaratif prononcé le 14 janvier 1953 par le tribunal de Saverne (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1949. Il avait 21 ans. D’après le Volksbund, il reposerait dans une fosse commune de prisonniers de guerre dans la région d’Astrakhan (Russie). Son corps n’a pas été transféré dans un cimetière militaire.
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Albert Rodolphe 1923 Domfessel (Bas-Rhin)
BACH Albert Rodolphe est né le 4 juillet 1923 à Domfessel (Bas-Rhin), fils de Henri B., cantonnier à la SNCF et de Christine née Jitten. Le 20 avril 1942, il intègre le R.A.D.(Reichsarbeitsdienst). Lors d’un recrutement à Saverne, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 18 octobre 1942, dans la Einheit 1003 secteur postal 33685 A, puis dans la Stab-u 1-5, secteur postal 33685 A et dans le Kompanie Sicherung Bataillon 516. Il atteint le grade de caporal. Une de ses lettres date du 9 mai 1944 de Jalonique (actuelle Thessalonique, Grèce) secteur postal 27824D. Les lettres suivantes proviennent du secteur postal 33685A à partir de l’été 1944. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 26 octobre 1943. Le 8 septembre 1949, le rapatrié Otto Mayer de Sarrebruck (Allemagne), employé aux écritures du bataillon, témoigne que le 7 mai 1945 une bataille fit rage près de Poljana (Croatie). Un tiers du bataillon périt dont le commandant et l’adjudant. Les parents d’Albert ont rendu visite à Otto en octobre 1949. Ils l’informent que leur fils a été vu à Poljana le 7 mai 1945 par le caporal René Tomschak d’Algrange (Moselle). René Tomschack, après avoir lu le 7 avril 1946 dans le journal « Courrier de Metz » qu’Albert était recherché par ses parents, leur envoie un courrier le 9 avril 1946. Il indique qu’il était avec Albert depuis le début à Zwickau (Allemagne) puis Thessalonique (Grèce) et ensuite dans d’autres lieux en Grèce. Lors de la retraite ils étaient encore ensemble et cela jusqu’en janvier 1945. Albert n’avait pas la moindre blessure, malgré tout ce qu’ils avaient vécu. Ils se trouvaient alors en Croatie. Début janvier 1945, René fut blessé et perdit le contact avec son groupe. Plus tard il apprit que toute la troupe fut faite prisonnière par les troupes de Tito en février 1945. Il indique également que leur lieutenant, originaire de Vienne (Autriche), était également prisonnier et devrait bientôt rentrer et qu’il pourra surement donner des nouvelles d’Albert. Le 5 avril 1950, le rapatrié Philip Bitsch de Kolmbach (quartier de Lindenfels, Allemagne) qui se trouvait dans la 3. Kompanie 1. Bataillon 181 avec Albert, témoigne que ce dernier a été tué par des éclats de grenade à la tête, lors de tirs d’artillerie près de Zagreb, deux heures avant le cessez-le-feu. Un acte de disparition est adressé à son père le 21 février 1947. Un acte de décès est émis le 1er juillet 1950 par le Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre à Paris. Un acte de décès est émis le 20 décembre 1952 par l’Etat Civil de Berlin. Il est décédé le 8 mai 1945 aux environs de Zagreb (Croatie). Il obtient la mention Mort pour la France en 1949. Il avait 21 ans. Son nom est répertorié par le Volksbund mais son corps n’a pas été rapatrié dans un cimetière militaire.
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Benjamin 1913 Bartenheim (Haut-Rhin)
BACH Benjamin est né le 25 juillet 1913 à Bartenheim (Haut-Rhin), fils de Camille B., cultivateur et de Marie née Dosch. Le 12 juin 1942, il épouse Aline née Beck à Kembs (Haut-Rhin). Ils ont un enfant. Domicilié à Kembs, ouvrier de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 10 janvier 1944, au 13 Grenadier Regiment 1, secteur postal 28628 B et dans la Stabs Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon 172-6989. Lors de son incorporation il doit se rendre à Litau. Le 17 novembre 1946 ou le 17 février 1949 un acte de disparition est adressé à son épouse qui l’égare lors d’un déménagement. Dernières nouvelles datent d’octobre 1944, secteur postal 08757 au sud de Tilsit (également nommée Sovetsk, Russie). Son décès est fixé au 16 octobre 1944 à Parazniai (Lituanie) au sud de Schirwindt (Kutuzovo, village abandonné, Russie), par un jugement déclaratif prononcé le 15 décembre 1952 par le tribunal de Mulhouse (Haut-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1950. Il avait 31 ans. Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière allemand de Kaunas (Lituanie).
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Chrétien 1921 Dehlingen (Bas-Rhin)
BACH Chrétien est né le 18 novembre 1921 à Dehlingen (Bas-Rhin), fils de Chrétien ou Christian B., cultivateur et de Salomée née Muller. Cultivateur, il est incorporé de force au R.A.D (Reichsarbeitsdienst) le 6 ou le 8 octobre 1942, puis il a été versé dans la Wehrmacht, le 13 janvier 1943, au 315. Grenadier Regiment 6. Il est venu deux fois en permission chez lui vers juin et juillet 1943. Le 13 août 1943, il part pour le front roumain. Son dernier secteur postal connu est 04700 C, Roumanie. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 15 août 1943. Ses dernières nouvelles datent du 15 août 1944. Un acte de disparition est adressé à son père le 4 octobre 1949. Son décès est fixé au 15 août 1944 à Jassy (Roumanie) par un jugement déclaratif prononcé le 8 avril 1960 par le tribunal de Saverne (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France le 25 septembre 1949. Il avait 22 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Jean-Pierre 1924 Metz (Moselle)
BACH Jean-Pierre est né le 1er janvier 1924 à Metz (Moselle), fils de Pierre B., ouvrier du chemin de fer décédé le 30 mai 1937 à Scy-Chazelles (Moselle) et de Anna Maria née Minck décédée le 7 décembre 1950 à Metz. Son prénom est germanisé en Johann. Il est incorporé de force dans la Wehrmacht, au 304. Sta Infanterie Ersatz Bataillon 118 motorisiert et dans la 3. Panzer Aufklärungs Abteilung 18. Son dernier secteur postal connu est le 41812, sans indication de lieu. Sa mère envoie un courrier au commandant Altorffer au Service de Dépistage – Equipe spéciale de liaison d’Alsace et de Moselle en demandant des nouvelles de son fils qui est disparu depuis le 6 août 1943 aux environs de Kharkov-Belgorod (actuelle Kharkiv, Ukraine). Un acte de disparition est adressé à la mairie de Metz le 28 janvier 1947. Il est ensuite adressé à la famille le 27 mars 1947. Un acte de disparition est adressé à sa sœur Augustine Bach divorcée Joyeux, le 25 février 1952. Son décès est fixé au 6 août 1943 à Golswtschino (Russie), par un jugement déclaratif prononcé le 19 mai 1960 par le tribunal de Metz (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1952. Il avait 19 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Jean Marie Julien 1926 Metz (Moselle)
BACH Jean Marie Julien est né le 21 août 1926 à Metz (Moselle), fils d’Alphonse B., menuisier et de Marie née Urbild. Serrurier, il réside à Sainte Croix à Metz, lorsqu’il est incorporé de force le 27 avril 1944. Ses dernières nouvelles datent du 15 octobre 1944, secteur postal 29.521D. Le 16 janvier 1947, sa mère veuve, Marie B., demande une régularisation de l’état civil. Un acte de disparition est émis le 18 avril 1947 par le ministère des Anciens Combattants, dossier n° 320.484 AL. Le 26 novembre 1951, le Haut-commissariat de la République Française en Allemagne, rend compte des recherches effectuées dans les archives de la Wehrmacht à Berlin : le secteur postal 29.521 D correspond au 3° Panzer-Grenadier-Regiment 147, mais le nom de Jean B., ne figure pas sur les listes, il est tombé en avril 1945, en Autriche. Le 29 novembre 1951, un acte de décès, n°26079/1951W, est transmis par le premier bureau d’état civil de Berlin : Jean B., est décédé en Autriche en avril 1945, la date et le lieu de décès ne sont pas connus. Il a été inhumé à Alt-Lichtenwarth, arrondissement de Mistelbach (Basse-Autriche). Le 13 décembre 1951, l’état civil du ministère des Anciens Combattants rédige un acte de décès en date du mois d’avril 1945 à Alt-Lichtenwarth (Autriche). La même année, il obtient la mention Mort pour la France. Le Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge (VDK) indique que Jean B., a été réinhumé au cimetière militaire allemand d’Allentsteig (Autriche). L’emplacement de sa tombe est bloc 3, rangée 2, tombe 64. Il avait 18 ans.
Anne-Catherine Vogler 2025 ©
BACH Joseph Marcel 1926 Sarreinsberg (Moselle)
BACH Joseph Marcel est né le 30 septembre 1926 a Sarreinsberg (Moselle), fils de Joseph B. polisseur sur verre et de Marie née Erbrech, son épouse, sans profession. Incorporé de force dans la Wehrmacht, il est mort au combat, tué par une grenade de mortier (faits certifiés par Charles Dossin, domicilié à Ay sur Moselle), le 30 septembre 1944 à Metzlavoos en Tchécoslovaquie. Il obtient la mention Mort pour la France en 1952. Il avait 18 ans.
Denis Parisot 2025 ©
BACH Joseph Nicolas 1922 Amnéville (Moselle)
BACH Lucien 1925 Carspach (Haut-Rhin)
BACH Lucien est né le 24 mai 1925 à Carspach (Haut-Rhin), fils d’Albert B., journalier et de Lina née Keller. Domicilié à Altkirch (Haut-Rhin), ouvrier métallurgiste de profession, il est incorporé de force dans le R.A.D (Reichsarbeitsdienst) en février 1943 à Kleinstone près de Francfort (Allemagne) puis dans la Wehrmacht, le 20 mai 1943, dans la 692. 1. Stamm ou Stab Batterie Artillerie Ersatz Abteilung 309. Il est envoyé à Frotzlar près de Kassel (Allemagne). En juin 1944 il est envoyé près de la frontière roumaine. Il était télégraphiste. Sa dernière unité connue est la 5. Batterie Artillerie Regiment 9 dans laquelle il est muté le 8 juillet 1944, secteur postal 07189 C, sans indication de lieu. Ses dernières nouvelles datent du 15 août 1944 de Slobozia (Roumanie). D’après des renseignements fournis par le rapatrié Paul Eckes de Zillisheim (Haut-Rhin), camarade de régiment, il se trouvait le 24 août 1944 dans un camp de prisonniers à Odessa (actuelle Ukraine). Au mois de septembre de la même année, il est transféré dans un autre camp. Un acte de disparition est adressé à son père le 5 juin 1947. Son décès est fixé au 30 septembre 1944 en Russie par un jugement déclaratif prononcé le 25 avril 1958 par le tribunal de Mulhouse (Haut-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1958. Il avait 19 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Marcel Othon 1915 Strasbourg (Bas-Rhin)
BACH Marcel Othon est né le 14 mai 1915 à Strasbourg (Bas-Rhin), fils de Marcel B. décédé le 23 juillet 1950 et de Adrienne née Jung. Le 31 janvier 1939, il épouse Anne Alphonsine née Keifel à Strasbourg. Ils ont 3 enfants. Manœuvre de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 21 mai 1942, au grade de caporal, matricule 2351, Stabs Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon 55. Il est affecté dans l’infanterie dans la 3. Kompanie Bataillon Adler et dans le Grenadier Ersatz Bataillon 192, 1. March Kompanie Bautzen (Allemagne). Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 21 mai 1943. Le 28 janvier il est transféré au poste de secours principal de Proskzow (Pologne) car il est légèrement blessé près d’Oppeln (Pologne) et a les pieds gelés. Il a disparu sur le front russe en 1945 après être sortie d’un hôpital militaire de Vienne (Autiche). Ses dernières nouvelles datent du 17 janvier 1945 de Neunkirchen (Allemagne). Son décès est fixé au 28 janvier 1945 à Proskzow (Pologne) par un jugement déclaratif prononcé le 8 avril 1952 par le tribunal de Strasbourg (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1952. Il avait 29 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACH Michel 1921 Rexingen (Moselle)
BACH Michel est né le 17 décembre 1921 à Rexingen (Bas-Rhin), fils de Michel B., cultivateur et de Caroline née Schmuck. Boucher de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 24 février 1944, matricule 1079, comme grenadier-chef, d’abord dans l’Ausbildungs Bataillon 519 à Marbourg (Allemagne) puis dans la 2. Stabs Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon 9 et dans le 8. Grenadier Regiment 428. Il est grièvement blessé le 22 août 1944 à Zambrow (Pologne) au sud de Lomza (Pologne) par des éclats d’obus à la cuisse droite. Il est évacué au parc sanitaire de la 129ème division d’infanterie. Il n’a pas reparu à son domicile depuis son incorporation. Ses dernières nouvelles datent de novembre 1944. Un acte de disparition est adressé à son père le 19 mai 1948. Son décès est fixé au mois de novembre 1944 à Marbourg (Allemagne) par un jugement déclaratif prononcé le 19 janvier 1953 par le tribunal de Saverne (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1949. Il avait 22 ans. Il est possible qu’il repose au cimetière militaire de Cernay (Haut-Rhin), bloc 9 rang 9 tombe 159 car son nom est répertorié par le Volksbund avec une date de naissance inconnue et une date de décès au 8 décembre 1944.
Frédérique Studer 2025 ©
BACH René 1921 Herbitzheim (Bas-Rhin)
BACH René est né le 18 septembre 1921 à Herbitzheim (Bas-Rhin), fils de Frédéric B., ouvrier et de Marie-Henriette née Saarbach. La famille réside à Herbitzheim, lorsque René est incorporé de force dans la Wehrmacht. Ses dernières nouvelles datent d’août 1944. Le 19 août 1947, Frédéric, son père, demande une régularisation de l’état civil. Le 30 juin 1954, dans le cadre des recherches de disparus par secteur postal, Willy S., domicilié à Karlsruhe (Allemagne) témoigne : il a reconnu René B., d’après une photographie. Ils ont appartenu à la même unité, Nachrichten-Kompanie 823, secteur postal FPN 27802.Il l’a vu le matin du 10 mai 1945, lors de la capitulation de Libau, René était en bonne santé. Willy ne sait pas s’il a pu fuir lors des avancées des Russes à Libau. Le ministère des Anciens Combattants émet un acte de disparition le 5 octobre 1955, dossier n° 319.164 AL. Le 7 janvier 1960, la brigade de gendarmerie de Sarre-Union, auditionne Robert Saarbach (demi-frère de René) : René a été incorporé au Reichsarbeitsdienst (R.A.D.), du 7 octobre 1942 à avril 1943. Après une quinzaine de jours de permission, il a été enrôlé dans l’armée allemande à Ingolstadt, d’où il est parti pour la Pologne, puis le front de Russie aux environs de Leningrad. Il est rentré pour 20 jours de permission en août 1944. Ils n’ont plus eu de nouvelles après. En 1945 ou 1946, Chrisostome Buch de Herbitzheim, de retour du camp de prisonniers de Tambow a dit avoir vu René dans ce camp, il était gravement malade et atteint de dysenterie il ne mangeait plus et ne faisait que boire de l’eau. Chrisosotome est mort accidentellement le 13 juillet 1950 à Sarre-Union. Robert pense que son frère est décédé au camp de prisonniers de Tambow, ses parents sont décédés aussi. Un registre spécial de la mairie d’Herbitzheim, confirme aux gendarmes la date d’enrôlement au R.A.D. (Reichsarbeitsdient]. Dans les archives, dans un registre spécial des permissionnaires, les gendarmes découvrent que René a fait enregistrer une permission de convalescence valable du 30 novembre 1943 au 17 décembre 1943, il s’agit de la dernière permission enregistrée de l’intéressé. Le 11 mars 1960, un jugement déclaratif du tribunal civil de Saverne fixe le décès au 10 mai 1945 près de Libau-Kurland (act. Liepāja-Lettonie). Il obtient la mention Mort pour la France. Il avait 23 ans. Son frère, Georges Marcel Bach est Mort pour la France, le 23 juillet 1944 près de Llobozia (Russie).
Anne-Catherine Vogler 2025 ©
BACH Roger 1925 Sarre-Union (Bas-Rhin)
Bien que sa photo figure dans le fascicule des « Disparus » de la conscription allemande, Roger Bach est revenu de la guerre et est décédé le 3 mai 2010 à Schiltigheim.
Christophe Woehrle 2025 ©
BACH Simon Albert 1923 Habsheim (Haut-Rhin)
BACH Simon Albert est né le 10 décembre 1923 à Habsheim (Haut-Rhin). Fils d’Albert B., BACH Simon Albert est né le 10 décembre 1923 à Habsheim (Haut-Rhin), fils d’Albert B., homme d’équipe et de Marie Rosalie née Uricher. Mécanicien, Simon réside à Habsheim, lorsqu’il est incorporé de force dans la Wehrmacht. Le 20 avril 1943, il intègre l’infanterie à Bartenstein, Allemagne (act. Bartoszyce-Pologne). Ses dernières nouvelles datent du 23 mars 1944. Le 15 octobre 1946, le service Central de l’état civil, indique dans un avis officiel de disparition, que Simon figure sur une liste de l’Oberkommando de la Wehrmacht (OKW), il est signalé disparu par son unité (6° Grenadier Regiment 23° Stabs Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon 24), le 27 mars 1944 au sud-ouest de Narwa (act. Narva-Estonie). Le 20 juin 1949, un acte de disparition est établi par le ministère des Anciens Combattants, numéro 309.125 AL. Le 29 novembre 1949, pour l’obtention de la mention mort pour la France, le préfet du Haut-Rhin atteste que Simon a été mobilisé sous la contrainte dans l’armée allemande. Le 21 juin 1955, un jugement déclaratif du tribunal de Mulhouse fixe la date du décès au 27 mars 1944. La même année, il obtient la mention Mort pour la France. Il avait 20 ans. Selon le Volksbund Deutsche Kriesgsgräberfürsorge (VDK), Albert « Eduard » B., est porté disparu depuis le 1ermars 1944. Son nom figure dans le livre commémoratif de la nécropole militaire de Sologubowka (Russie), où reposent 56 416 soldats allemands.
Anne-Catherine Vogler 2025 ©
BACH Théodore René 1919 Ingersheim (Haut-Rhin)
BACH Théodore René est né le 24 mai 1919 à Ingersheim (Haut-Rhin), fils de Théodore B. et de Anne née Miclo. Une dénommée Madeleine Moeglin de Colmar pourrait être sa compagne ou de la famille. Domicilié à Colmar (Haut-Rhin), magasinier de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 13 août 1943. Sa formation militaire se fait dans l’Ausbildung Stamm Kompanie à Leba (Pologne). Il intégre ensuite les Genesenden Marsch Kompanien 5/294/38 Plauen (Allemagne). Son secteur postal est le 56736 F, en Russie. Heinrich Neben de Hambourg affirme l’avoir vu à la Pentecôte 1944 à Berlin (Allemagne) dans un commando véhiculé de l’unité du secteur postal 33146D. Fin mai l’unité est déplacée de Berlin vers l’ouest à Leipzig (Allemagne). Ensuite il n’a plus de nouvelles de Théodore. D’après le témoignage du rapatrié Kurt Sieb de Hambourg (Allemagne), il aurait été fait prisonnier le 29 avril 1945 à Ebenshausen (ancienne commune d’Allemagne). Son père indique qu’il est rentré pour la dernière fois à Ingersheim en février 1944. Il est resté 48 heures. Sa dernière lettre date du 19 septembre 1944 alors qu’il se trouvait à Chisinau en Roumanie avec la 294ème division d’un régiment d’artillerie, secteur postal 33146 D. Le lundi de Pentecôte 1945 (fin mai), le poste émetteur de Strasbourg P.T.T annonçait que, parti d’Odessa (Ukraine) il se trouvait sur un bateau en direction de Marseille (Bouches-du-Rhône). Un acte de disparition est adressé à son père le 6 août 1947. Son décès est fixé au 30 avril 1945 à Ebenshausen par un jugement déclaratif prononcé le 22 mars 1960 par le tribunal de Colmar (Haut-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1952. Il avait 25 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACHER Frédéric 1914 Mertzwiller (Bas-Rhin)
BACHER Frédéric est né le 4 octobre 1914 à Mertzwiller (Bas-Rhin), fils de Jacques B., mouleur et de Salomé née Haas. Il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 20 novembre 1944, matricule 9098, dans la Stamm Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon 4 à Kolberg (Actuelle Kolobrzeg, Pologne). Il n’a pas reparu à son domicile depuis son incorporation. Ses dernières nouvelles dateraint de janvier 1945 de la région de Kolberg. Il serait disparu en Pologne dans le secteur de Varsovie-Radom. D’après une liste de prisonniers en territoire soviétique, il se serait trouvé à Diétol Kreis Welm. Un acte de disparition est envoyé à son père le 6 mai 1947. Le 24 novembre 1959, le maire de Mertzwiller indique que son père refuse qu’il soit déclaré par l’autorité judiciable. Sa date de décès n’est pas fixée. Il obtient la mention Mort pour la France en 1955. Il avait 30 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACHER Geoffroi 1922 Strasbourg (Bas-Rhin)
BACHER Geoffroi est né le 19 septembre 1922 à Strasbourg (Bas-Rhin), fils de Henri B., cordonnier et de Frédérique née Deutsch. Domicilié à Hoelschloch (Bas-Rhin), cordonnier de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, au grade de caporal, le 28 octobre 1943, dans la 5. Kompanie Regiment 169, 68 Division, secteur postal 03863 B. Le rapatrié Ludwig Kohaut de Mauerkirchen (Allemagne) indique qu’il était à Ternopil (Ukraine) en mars 1943 et que blessé à la jambe, il a été fait prisonnier et amené au camp de Usamn près de Voronej (Russie). Le rapatrié Richard Zerbe de Berlin (Allemagne) indique que Geoffroi travaillait comme cordonnier dans le train de combat et qu’il a été envoyé au combat sur le front de l’est le 12 janvier 1945. Il est tombé ce jour-là à Baranow – tête de pont. Son frère Henri né le 6 avril 1925 à Hoelschloch, aide-serrurier de profession, qui se trouvait également dans la 5ème compagnie est également tombé. Il a été incorporé le même jour que son frère et ses dernières nouvelles datent du 10 mars 1944 du front de l’est. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 28 février 1943. Ses parents ont reçu sa dernière lettre le 4 novembre 1944 de Tchécoslovaquie. L’avis de disparition de Théodore est adressé à son père le 14 avril 1947. Un acte de décès est émis le 18 janvier 1953 par le Ministère des Anciens Combattants et Victime de Guerre à Paris. Son décès est fixé au 12 janvier 1945 à Baranow (Pologne) selon la déclaration de Richard Zerbe. Il obtient la mention Mort pour la France en 1955. Il avait 23 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACHERER Théodore Ernest Arnold 1909 Mulhouse (Haut-Rhin)
BACHERER Théodore Ernest Arnold est né le 3 août1909 à Mulhouse (Haut-Rhin), fils de Guillaume Arnold B. et de Lina née Strunz. Employé de bureau, il épouse Madeleine née Zelle en 1932. Le couple exploite un commerce de quincaillerie à Mulhouse et a deux enfants. Théodore est affecté au service de la défense passive de Mulhouse en septembre 1941. Le 16 octobre 1944, il est incorporé dans la police et envoyé en Haute Silésie. De grade Hauptwachtmeister, ses coordonnées sont : 24° régiment SS Polizei, 1 Kolonienstrasse à Grodziec près Bendsburg (act. Pologne) SP 20.822C. Un camarade revenu, l’aurait vu dans cette caserne, le 16 janvier 1945. (Lettre de Lina B., adressée le 23 août 1945 au ministère des prisonniers, Déportés et Réfugiés). Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 16 octobre 1944. Dans un courrier du 13 juin 1946, Lina B., écrit au commandant de la division de rapatriement qu’elle a obtenu une précision, qui lui donne l’espoir de revoir son mari : Théodore a dû quitter Minsk par le 2° convoi au courant du mois d’octobre 1945, mais le témoin n’a pas pu préciser si le convoi se dirigeait vers la Pologne ou l’Allemagne occupée, un camarade de Mulhouse-Dornach, Julien W., devait faire partie du 3° convoi, mais madame W., n’a pas de nouvelles de son mari. En septembre 1946, Lina B., précise que Théodore serait prisonnier des Russes. Le 17 février 1947, le ministre des Anciens Combattants émet un acte de disparition, dossier n° 318.828. Le 17 juin 1950, les recherches menées par l’ambassade de Berlin attestent que Théodore s’est trouvé le 16 janvier 1945 à Grodziec en Pologne. Le 12 janvier 1953, grâce à la recherche par secteur postal 20.822, Walter N., de Braunschweig (Allemagne) témoigne : il était au 3° bataillon SS Polizei regiment 24, et a reconnu Théodore sur photo. Théodore appartenait à son unité, il l’a vu pour la dernière fois en janvier 1945 à Grodzice (act. Grodziec-Pologne). L’unité a été détruite fin janvier 1945 à environ 15 km au sud de Hindenburg (act. Zabrze-Pologne). Le 9 août 1950, un jugement déclaratif du tribunal de Mulhouse fixe le décès au 31 décembre 1945. Afin de régler la succession, Lina B., sa veuve, demande la mention Mort pour la France. Le 6 novembre 1950, le préfet du Haut-Rhin certifie que Théodore a été incorporé de force. Il obtient la mention Mort pour la France en 1951. Selon le Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge (VDK), Théodore a disparu depuis le 1er novembre 1944 à Kattowitz / Auschwitz / Königshütte / Myslowitz / Sosnowiec / Warthenau. Son nom figure dans le livre commémoratif de la nécropole de Siemianowice Śląskie (Pologne). Il avait 36 ans.
Anne-Catherine Vogler 2025 ©
BACHMANN Joseph Alfred 1921 Schweighouse-Lautenbach (Haut-Rhin)
BACHMANN Joseph Alfred est né le 28 décembre 1921 à Schweighouse-Lautenbach (Haut-Rhin), fils de Cécile B. ouvrière d’usine et de père inconnu. Le 24 octobre 1924, sa mère épouse Louis Edouard Schweitzer, né le 2 janvier 1900 à Wintzenheim (Haut-Rhin), agent communal. Ils ont un fils prénommé Hubert. Domicilié à Turckheim (Haut-Rhin), boucher de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 27 mars 1943 au Grenadier Ersatz Bataillon 72 à Tardulitz. Il est versé dans le Marine Oberkommando Nord le 1er août 1943. De la Marine Flak Abteilung 711 à Swinoujscie (Pologne), il est muté en novembre 1944 à la 3. Marine Artillerie Abteilung à Liepaja (Lettonie). Il obtient le grade de caporal-chef le 1er janvier 1945. Sur sa plaque d’identité se trouve l’inscription 0.13.157/43K. Son dernier secteur postal est le 11313 A, Lituanie. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 15 octobre 1943. Sa dernière lettre date du 16 ou du 23 novembre 1944 de Russie, reçue le 3 décembre 1944. Il aurait été fait prisonnier à Chakhty près de Rostov (Russie). Un avis de disparition est adressé à Louis Schweitzer le 9 juillet 1947. Le 3 janvier 1955, le rapatrié Johann Horka de Utting (Allemagne) indique que Joseph était dans la même unité que lui. Il l’a vu pour la dernière fois le 9 mai 1945 près de Pavilosta (Lettonie) lorsque des Alsaciens et des Lorrains chargeaient un attelage avec du ravitaillement pour se sauver vers leur pays. Le témoignage est qualifié de douteux par la Section de Recherches « Alsace-Lorraine » de Göttingen (Allemand). Son décès est fixé au 10 mai 1945 à Pavilosta (Lettonie) par un jugement déclaratif prononcé le 2 juillet 1957 par le tribunal de Colmar (Haut-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1957. Il avait 23 ans. Il est répertorié par le Volksbund sous le nom d’Alfred B. décédé le 13 juillet 1945 et prisonnier de guerre à Chakhty près de Rostov. Il serait toujours encore enterré dans ce lieu.
Frédérique Studer 2025 ©
BACHMANN Joseph Eugène 1915 Wolschwiller (Haut-Rhin)
BACHMANN Joseph Eugène est né le 2 décembre 1915 à Wolschwiller (Haut-Rhin), fils de Pauline Roth. Le 22 octobre 1919, cette dernière épouse Joseph Albert Bachmann qui reconnait le même jour Joseph Eugène comme son fils. Sa famille quitte Wolschwiller le 25 novembre 1956 pour s’établir à Riehen Ring à Bâle (Suisse). Aide facteur de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 23 octobre 1943, au Luftgau Postamt Poznan (Pologne) dans la 3. Batterie Flak Regiment 24., secteur postal L 12692. Il n’a pas reparu à son domicile depuis son incorporation. Il aurait été en permission chez lui en mai 1944. Ses dernières nouvelles datent du 20 octobre 1944 ou du 12 novembre 1944. Un acte de disparition est adressé à son père le 25 février 1948. Sa date de décès serait le 12 novembre 1944, lieu indéterminé. Il obtient la mention Mort pour la France en 1950. Il avait 28 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACHSCHMIDT René Gustave 1923 Strasbourg (Bas-Rhin)
BACHSCHMIDT René Gustave est né le 14 décembre 1923 à Strasbourg (Bas–Rhin), fils d’Emile Ernest B., mécanicien, décédé le 13 juin 1944 et de Emilie née Lang, couturière. Ses parents se marient le 28 juillet 1923 à Strasbourg. Domicilié à Sarrebourg (Moselle), il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 17 octobre 1944, dans le Grenadier Ersatz Bataillon 514-677 à Dresde (Allemagne) ainsi que dans le 1. Bataillon Nitzsche 417. Il n’a pas reparu à son domicile depuis son incorporation. Sa dernière lettre date du 8 novembre 1944 de l’adresse 1ère compagnie de marche, bataillon 514, Dresde n°15. Il est porté disparu par son unité le 28 janvier 1945 à Glockenau (actuel Zlönitz, Pologne). Un acte de disparition est adressé à sa mère le 27 avril 1949. Par des lettres du 20 juillet 1956 et du 7 décembre 1959, sa mère s’oppose à ce que son décès soit déclaré judiciairement. Le 12 novembre 1949, le préfet du Bas-Rhin adresse un courrier au Ministre des Anciens Combattants et Victimes de Guerre dans lequel il indique que René et sa famille était adhérents au parti nationaliste socialiste at qu’ils avaient la réputation d’être germanophiles. De ce fait, la Commission Départementale de Contrôle des Prisonniers, Déportés et Internés a émis le 12 octobre 1949 un avis défavorable pour l’attribution de la Mention Mort pour la France. Il avait 21 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACK Edmond 1927 Volmerange-les-Mines (Moselle)
BACK Edmond est né le 7 avril 1927 à Volmerange-lès-Mines (Moselle), fils d’Edmond B., ouvrier mineur et de Lucie Marie née Wolter. Il est incorporé de force au R.A.D (Reicharbeitsdienst) le 10 juillet 1944 à Birkenfeld (Allemagne). Après trois mois, il est muté dans une unité du R.A.D stationnée à Waldesch près de Coblence (Allemagne). Fin décembre ou début 1945, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, matricule 59, dans le Grenadier Ersatz und Ausbildung Bataillon 457/2 à Landsberg an der Warthe (actuelle Gorzow Wielkopolski, Pologne). Après deux mois d’instruction militaire, il est envoyé sur le front russo-allemand dans la région de Schwerin (Allemagne). Le rapatrié Jean Collet de Volmerange-lès-Mines, indique qu’il était avec lui au R.A.D et au front. Fin mars 1945, lors d’une attaque russe, Jean a dû laisser Edmond sur la ligne de feu car, sans arme, il n’a pu participer à l’action et s’efforça de rejoindre à pied l’arrière des troupes allemandes. Le lendemain, par un nommé Mangin, âgé de 18 ans et originaire de Basse-Yutz (Moselle), Jean apprend qu’Edmond vit encore. Ayant été visité par un médecin, la plupart des soldats avaient les pieds gelés. Jean ignore ce qu’il est arrivé à Edmond, mais il suppose qu’il a été tué au combat. Alors qu’il était à l’armée, il correspondait avec une jeune fille, Amélie Schmitt, de Volmerange-lès-Mines. Elle était incorporée au R.A.D. Après la guerre, elle a remis une lettre reçue le 22 janvier 1945, à son père. Il n’a pas reparu à son domicile depuis son incorporation. Ses dernières nouvelles datent du 22 janvier 1945. Un avis de disparition est envoyé à son père le 27 septembre 1949. Son décès est fixé au 30 mars 1945 à Schwerin (Allemagne)par un jugement déclaratif prononcé le 12 juillet 1961 par le tribunal de Thionville (Moselle). Il obtient la mention Mort pour la France en 1961. Il avait 17 ans. Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire de Stare Czarnowo (Pologne).
Frédérique Studer 2025 ©
BACK Jean 1921 Uckange (Moselle)
BACK Jean est né le 24 mai 1921 à Uckange (Moselle), fils de Jean B., machiniste et de Dorothée Louise née Taubert. Son frère Armand est né le 29 mai 1926 à Uckange. Il est également incorporé de force dans la Wehrmacht, secteur postal 15698 L. Son père est emmené par les allemands le 23 septembre 1944. Sa mère reste seule avec une fille de 17 ans et elle quitte par la suite Mondelange pour s’installer à Hussar (Canada). Sa cousine Berthe Back indique qu’il travaillait à l’usine Nord et Lorraine à Uckange. Il manifestait de bons sentiments envers la France et était anti-nazi. Domicilié à Mondelange (Moselle), il est incorporé de force dans le R.A.D (Reichsarbeitsdienst) en février 1941 puis versé dans la Wehrmacht, au grade de caporal, dans le 8. Grenadier Regiment 399 Stabs Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon 171-814, secteur postal 17433 E. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le mois de décembre 1943. Le 23 février 1944, le lieutenant Raymond Langemeyer, écrit à son père afin de lui annoncer la disparition de son fils le 15 janvier 1944 au cours des lourds combats au sud de Leningrad (actuelle Saint Pétersbourg, Russie). Son groupe a été encerclé et peu de ses camarades ont réussi à se sauver lorsque les russes ont percé. Un avis de disparition est adressé à sa tante à Uckange le 20 février 1947 et le 11 avril 1947 à sa mère. Son décès est fixé au 15 janvier 1944 au sud de Leningrad (actuelle Saint Pétersbourg, Russie) par un jugement déclaratif prononcé le 7 août 1957 par le tribunal de Thionville (Moselle). Il obtient la mention Mort pour la France en 1950. Il avait 17 ans. Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire Sologubowka (Russie).
Frédérique Studer 2025 ©
BACKENSTRASS Albert 1924 Wissembourg (Bas-Rhin)
BACKENSTRASS Albert est né le 8 septembre 1924 à Wissembourg (Bas-Rhin), fils de Jean Emile B., cultivateur, décédé et de Louise née Berger, remariée Rieber. Domicilié à Wissembourg-Weiler, manœuvre de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, au grade de caporal, matricule 7 EM. Pionnier Regiment 14, dans le 1. Pionnier Bataillon 32, secteur postal 17717. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le mois d’avril 1944. Son unité le signale disparu le 13 juillet 1944 à l’Est de Bialystock près du village de Piaski (Pologne). Un avis de disparition est adressé à sa mère le 25 janvier 1949. Son décès est fixé au 13 juillet 1944 à Piaski (Pologne) par un jugement déclaratif prononcé le 24 mai 1956 par le tribunal de Strasbourg (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1949. Il avait 19 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACKERT Aloïse Armand 1926 La Walck (Bas-Rhin)
BACKERT Marcel Aloïse 1923 La Walck (Bas-Rhin)
BACKERT Marcel Aloïse est né le 1er janvier 1923 à La Walck (Bas-Rhin), fils de Joseph Charles Laurent B., électricien et d’Augustine Amélie née Widmann. Son frère Aloïse Armand est également incorporé de force. Domicilié à Obernai, employé de bureau de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, dans le 11. Grenadier Regiment 385, secteur postal 20595 D, Karkow (actuelle Cracovie, Pologne). Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 5 mars 1943. Un avis de disparition est adressé à son père le 16 décembre 1949. Son décès est fixé au 31 août 1943 près de Mirnoe (actuelle Moldavie) à 60 km à l’ouest de Kharkiv (Ukraine) par un jugement déclaratif prononcé le 14 juin 1955 par le tribunal de Saverne (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1949. Il avait 20 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACKES Aloïse Charles 1923 Metz (Moselle)
BACKES Alois Charles est né le 24 septembre 1923 à Metz (Moselle), fils de Jacques B., serrurier et de Marie née Goeller, veuve en premières noces de Charles Denger. Il a un frère Georges Mathias, né à Metz le 24 août 1920. Domicilié à Hagondange (Moselle), il est incorporé de force dans la Wehrmacht, en mars 1943, matricule 6443 – i/Grenadier Ersatz Bataillon 1925, dans la 5. Grenadier Regiment 112. Il n’a pas reparu à son domicile depuis son incorporation. Son unité le signale gravement blessé d’une balle à la tête, le 31 mai 1944, au sud de Stanca près de Jassy (Roumanie). Il est transporté dans un hôpital dont le lieu est inconnu. Un acte de disparition est adressé à son père le 20 septembre 1949. Son décès est fixé 31 mai 1944 près de Jassy (Roumanie) par un jugement déclaratif prononcé le 5 avril 1960 par le tribunal de Metz (Moselle). Il obtient la mention Mort pour la France en 1949. Il avait 20 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BACKES Georges Mathias 1920 Metz (Moselle)
BACKES Georges Mathias est né le 24 août 1920 à Metz (Moselle), fils de Jacques B., serrurier et de Marie née Goeller, veuve en premières noces de Charles Denger. Il a un frère Alois Charles, né à Metz le 24 septembre 1923. Domicilié à Hagondange (Moselle), il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 14 avril 1943, dans le 4. Panzer Grenadier Regiment Feldherrnhalle, secteur postal 08009. Il obtient le grade de caporal-chef. Il n’a pas reparu à son domicile depuis son incorporation. Le 24 septembre 1951, le rapatrié Adolf Henn de Eibelshausen (Allemagne) indique qu’il était dans le même régiment que lui de juillet 43 à juin 44 et que dans la nuit du 23 au 24 juin 1944 la compagnie a été engagée. Georges était conducteur des lanceurs de grenades. Leur chef était l’adjudant König de Berlin (Allemagne). Ils sont restés sur leur positions jusqu’au matin du 25 juin 1944 lorsque les russes ont réalisé une percée avec leur artillerie. Après le rassemblement de la compagnie, le chef de compagnie de Henn annonça que l’adjudant König a été tué ainsi que tous ses lanceurs de grenades. Il était impossible que ces derniers aient été faits prisonniers. Lors de la retraite, en passant à l’endroit où ils se trouvaient, la compagnie de Henn n’a vu que des trous de grenades. Le 1er août 1952, le rapatrié Peter Remers de Solingen (Allemagne), indique que Georges se trouvait dans la même unité que lui et qu’il était longtemps son conducteur. Lors du retrait de Moguilev (Biélorussie), le bataillon a été encerclé près de Minsk (Biélorussie). Dans la nuit du 7 au 8 juillet 1944, lors d’une attaque fictive qui devait servir de diversion pour s’enfuir, Georges, qui était tireur de mitrailleuse, a réussi à rejoindre son unité en compagnie de son sous-officier. Le même jour Georges est tombé, alors qu’il voulait sauver ledit sous-officier. Le témoin affirme avoir écrit les 2 noms sur une liste qu’il avait personnellement constituée. Ses dates ne coïncident cependant pas avec sa date de décès officielle. Il a été tué le 25 juin 1944 près de Moguilev (Biélorussie), comme l’ensemble de ses compagnons, touchés par une bombe. Un acte de décès est dressé le 19 février 1952 par le Ministère des Anciens Combattants et Victimes de la Guerre à Paris. Il obtient la mention Mort pour la France en 1949. Il avait 23 ans. Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire de Sebej (Russie).
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BACKES Pierre 1911 Hayange (Moselle)
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BADER Charles Auguste 1921 Morschwiller-le-Bas (Haut-Rhin)
BADER Jean 1920 Rouffach (Haut-Rhin)
BADER Jean est né le 9 décembre 1920 à Rouffach (Haut-Rhin), fils d’Auguste B., tonnelier et de Julie née Mura. Ouvrier quincailler de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, lors d’un recrutement à Colmar, le 24 mars 1943, dans le 14. Grenadier Regiment 119, secteur postal 06269. Ses dernières nouvelles datent du 22 juin 1944 d’Orcha (Russie). Un acte de disparition est adressé à son père le 12 mai 1947. Le 16 décembre 1949, le rapatrié Gotthilf Seiter de Rappach (Allemagne), témoigne l’avoir vu pour la dernière fois en juin 1944 à 40-50 km avant Orcha. L’ex prisonnier de guerre allemand, Emil Erb de Dundenheim (Allemagne) indique également qu’il l’a vu fin juin 1944 pour la dernière fois et que leur unité a été dispersée pendant la retraite. Son décès est fixé au 30 juin 1944 à Orcha (Biélorussie) par un jugement déclaratif prononcé le 22 mars 1960 par le tribunal de Colmar (Haut-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1950. Il avait 23 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BADER Jean Pierre 1923 Sainte-Marie-aux-Mines (Haut-Rhin)
BADER Jean-Pierre est né le 27 janvier 1923 à Sainte-Marie-aux Mines (Haut-Rhin), fils de Jean B., maître menuisier et de Marie Sophie née Ehrhart. En 1943, il travaille à Heidelberg (Allemagne). Domicilié à Strasbourg, boulanger de métier, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, en septembre 1943, au grade de caporal, dans la 10. Einheit Landungsflottille-Kommando, matricule LO 47467/43D, secteur postal M 53433/S.F 190 Marinepersonalamt Vienne. Une dénommée Keller née le 1er avril 1925 à Strasbourg (Bas-Rhin) affirme avoir eu une correspondance avec lui le 15 octobre 1943. Il n’a pas reparu à son domicile depuis le 22 mars 1944. Ses dernières nouvelles datent d’octobre 1944. Le rapatrié Hermann Gernhoff de Bremerhaven (Allemagne) indique que Jean-Pierre a fait partie de son unité et qu’il l’a vu pour la dernière fois à Susak le 20 avril 1945. Le 20 octobre 1945, sa mère adresse un courrier à la Direction des Fichiers et Statistiques section Alsaciens-Mosellans. Elle indique que le 5 octobre 1944 il se trouvait sur un grand bac militaire qui faisait la navette entre Fiume (Rijeka, Croatie) et Trieste (Italie) SF 190. Le 30 avril 1945, il aurait déserté à Fiume, car il n’était pas à bord au départ du bateau. D’après ses camarades, il avait des affinités avec les patriotes de Tito et il rendait souvent visite à un architecte de Fiume. Un acte de disparition est adressé à sa mère le 6 janvier 1947. Le 10 mai 1950, le rapatrié Johann Schmelzeisen de Niederheimbach (Allemagne) témoigne qu’il a été avec lui à Trieste (Italie) en mars 1945. Jean-Pierre quitta son unité pour tenter de se rendre dans son pays. Ils étaient positionnés en bordure du secteur où se trouvait la résistance. Jean-Pierre devait passer par ce secteur pour rentrer chez lui. Son décès est fixé au 20 avril 1945 à Susak (ancienne Yougoslavie, actuel quartier de Rijeka, Croatie) par un jugement déclaratif prononcé le 4 avril 1960 par le tribunal de Strasbourg (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1953. Il avait 22 ans.
Frédérique Studer 2025 ©
BADER Louis Joseph 1922 Wattwiller (Haut-Rhin)
BADER Robert 1924 Réguisheim (Haut-Rhin)
BADER Robert est né le 14 septembre 1924 à Réguisheim (Haut-Rhin), fils de Michel Jean B., ouvrier mineur, et de Marie Joséphine née Studer. Manœuvre, Robert est domicilié à Réguisheim lorsqu’il est incorporé dans la Wehrmacht, le 14 janvier 1943. Intégré au Grenadier Ersatz Bataillon 319 à Taus (act. Domažlice-Tchéquie), ses dernières nouvelles datent de mars 1943. L’officier commandant la compagnie, secteur postal 19321B, avise la famille de sa disparition, le 27 mai 1943 en Russie. Les recherches faites dans les archives WASt de Berlin,en 1949, indiquent que Robert a été porté disparu à 3 kms à l’est de Russky Bischkin (Russie), son unité était 9/Grenadier Regiment 308/Grenadier Ersatz Bataillon 435, matricule n° 799 Stammkp/G.E.B. 319. En 1950, le ministère des Anciens Combattants émet un acte de disparition, dossier n° 337.069AL. Le 28 janvier 1950, le préfet du Haut-Rhin atteste que Robert a été incorporé de force. En 1959, le ministère des Anciens Combattants demande à la mairie de Réguisheim, si l’état civil de Robert a été régularisé ; les parents de Robert étant décédés, le dossier reste ouvert. Le 19 janvier 1960, un jugement déclaratif du tribunal de Colmar fixe le décès au 27 mai 1943 à Russky Bischkin (Russie). Le 22 avril 1977, le Comité exécutif de l’Alliance des Sociétés de la Croix Rouge et du Croissant Rouge de Moscou transmet à la Croix Rouge de Genève, un avis selon lequel l’ex-militaire Robert B., serait décédé en captivité soviétique, le 19 janvier 1944, sans précision de cause et de lieu de décès. Le 30 juillet 1999, le bureau de Berlin, de l’Ambassade de France en Allemagne, obtient de nouvelles informations russes transmises à la WASt, celles-ci précisent que Robert B., est décédé le 19 janvier 1944 à Urjupinsk (Fédération de Russie) où il fut inhumé. Sur la base de ces renseignements, le service allemand WASt a établi un avis de décès (Kriegssterbefallanzeige), lequel a été transmis au Standesamt I (état civil I) de Berlin en vue de dresser l’acte de décès n°2995/1999. Le 17 novembre 2000, le secrétaire d’Etat à la Défense chargé des Anciens Combattants demande une rectification du jugement de décès. Il obtient la mention Mort pour la France. Il avait 19 ans.
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BADINA Albert Alphonse 1925 Haguenau (Bas-Rhin)
BADINA Albert Alphonse est né le 28 janvier 1925 à Haguenau (Bas-Rhin), fils d’Antoine B., cultivateur décédé le 17 mars 1950, et de Marie née Erbs. Manœuvre de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, en avril 1943. Il n’est jamais rentré en permission suite à son incorporation. Un acte de disparition est adressé à son père le 4 juin 1947. Son décès est fixé au 30 septembre 1944 à Varsovie (Pologne) par un jugement déclaratif prononcé le 17 mai 1960 par le tribunal de Strasbourg (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1955. Il avait 19 ans. Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire allemand de Siemianowice Slaskie (Pologne).
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BADINA Edouard René 1911 Haguenau (Bas-Rhin)
BADINA Georges Laurent 1915 Haguenau (Bas-Rhin)
BADINA Georges Laurent est né le 23 février 1915 à Haguenau (Bas-Rhin), fils de Laurent B., cultivateur, décédé le 17 juillet 1942 à Haguenau et de Marie née Loeb, décédée le 29 juin 1938 à Haguenau. Il a entre autres une sœur Madeleine Marie qui épouse Ernest Auguste Ziegler, chauffeur, le 17 août 1931 à Haguenau. Ouvrier de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, le 19 avril 1943, matricule 1799- Stabs Kompanie Grenadier Ersatz Bataillon mat 41, dans le 11. Grenadier Regiment 41, secteur postal 17449 D, sans indication de lieu. Il est porté disparu par son unité le 11 novembre 1943 près d’Ujalniki /Diepr (indéterminé) par une lettre adressée à la famille le 4 décembre 1943. Un acte de disparition est adressé à sa famille le 9 février 1950. Son décès est fixé au 11 novembre 1943 par un jugement déclaratif prononcé le 30 avril 1956 par le tribunal de Strasbourg (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1950. Il avait 28 ans.
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BADINA Lucien Joseph 1914 Haguenau (Bas-Rhin)
BADINA Lucien Joseph est né le 8 janvier 1914 à Haguenau (Bas-Rhin), fils de Joseph B., voiturier et de Madeleine née Falck. Domicilié en 1938 à Bourtzwiller (Haut-Rhin), il épouse le 18 juillet 1938 à Mulhouse (Haut-Rhin), Hélène Louise Françoise née Peter le 13 octobre 1920 à Mulhouse, dactylographe. Ils ont un enfant. Domicilié à Schweighouse-sur-Moder (Bas-Rhin) en dernier lieu, chef magasinier de profession et footballeur professionnel en tant que gardien de but au FC Mulhouse, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, secteur postal 22935 D. Ses dernières nouvelles datent du 29 novembre 1943. Il n’a pas reparu à son domicile depuis cette date. Le 16 mars 1946, sa tante du nom de Henraëde domiciliée à Paris, envoie une lettre au Ministère des Anciens Combattants et à Paris. Elle y écrit que son neveu a été incorporé de force le 30 novembre 1943, que sa dernière lettre date du 9 novembre 1944, qu’il se trouvait à ce moment-là aux environs de Zakopane-Jaslo (Pologne), qu’il a été fait prisonnier le 20 janvier 1945 et qu’une amie lui a dit avoir entendu prononcer son nom à la radio et qu’il serait en convalescence au camp de Chernikof à 150 km de Moscou (Russie). Un acte de disparition est adressé à son épouse le 11 avril 1947. Son décès est fixé au 1er décembre 1943 par un jugement déclaratif prononcé le 6 avril 1949 par le tribunal de Strasbourg (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1950. Il avait 29 ans. Son nom apparait deux fois dans la liste des morts du Volksbund, une première fois sous Lucien avec une date de disparition au 1er novembre 1944 à Zakopane et une seconde fois sous Luzian avec une date de disparition au 26 janvier 1945 à Osiek près de Bielsko (Pologne). Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire allemand de Siemianowice Slaskie (Pologne) d’une part et il aurait été transféré dans ce cimetière en tant que soldat inconnu.
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BADINA Paul 1914 Berlin (Allemagne)
BADINA Paul est né le 18 janvier 1914 à Berlin (Allemagne), fils d’Henri B. et de Pauline née Klema, tous deux décédés. Le 25 juillet 1938, il épouse à Haguenau, Verena née Fath originaire de Montbronn (Moselle) le 9 août 1912. Domicilié à Haguenau (Bas-Rhin), ouvrier de machine de profession, il est incorporé de force dans la Wehrmacht, dans le 2. Pionnier Bataillon 361, secteur postal 57147 C sans indication de lieu. Il n’a plus reparu à son domicile depuis sa dernière permission en mai 1944. Sa dernière lettre date du 12 juillet 1944 et son épouse à reçu en retour une lettre avec la remarque « vermisst » (disparu). Un acte de disparition est adressé à son épouse le 11 avril 1947. Son décès est fixé au 22 juillet 1944 à Brody (Pologne) par un jugement déclaratif prononcé le 21 décembre 1949 par le tribunal de Strasbourg (Bas-Rhin). Il obtient la mention Mort pour la France en 1950. Il avait 30 ans. Son nom est inscrit dans le livre du souvenir du cimetière militaire allemand de Potelytsch (Ukraine).
Frédérique Studer 2025 ©
BADO Jean Raymond 1921 Virming (Moselle)
BAECHLE Adolphe Richard 1925 Fontoy (Moselle)
BAECHTEL Edouard 1921 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAEGERT Auguste 1912 Kaysersberg (Haut-Rhin)
BAEHL André 1917 Batzendorf (Bas-Rhin)
BAEHL Edmond 1913 Kriegsheim (Bas-Rhin)
BAEHL Jérôme 1912 Kriegsheim (Bas-Rhin)
BAEHR Oscar 1916 Boofzheim (Bas-Rhin)
Incorporé de force en 1943, Oscar Baehr, n’est pas revenu dans son village de Gerstheim à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce n’est qu’en 1951, six années après la fin des hostilités qu’il a retrouvé l’Alsace.
BAEHREL René Joseph 1925 Sarrebourg (Moselle)
BAER Charles Raymond 1926 Hayange (Moselle)
BAERENZUNG Marcel Raymond 1921 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAERST Edouard Ernest 1921 Plobsheim (Bas-Rhin)
BAERST Ernest 1915 Plobsheim (Bas-Rhin)
BAERST Frédéric Georges 1919 Plobsheim (Bas-Rhin)
BAEUMLIN Louis Emile Auguste 1925 Waldighofen (Haut-Rhin)
BAEUMLIN René Jean Baptiste 1923 Michelbach-le-Bas (Haut-Rhin)
BAHL René Alfred 1926 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAIER Paul 1908 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAIL Bernard 1922 Zoufftgen (Moselle)
BAILER Arthur 1915 Basse-Yutz (Moselle)
BAILLY Antoine Jean 1924 Neuwiller-lès-Saverne (Bas-Rhin)
BAILLY Charles Auguste 1919 Montigny-lès-Metz (Moselle)
BAILLY Charles Marcel 1915 Molsheim (Bas-Rhin)
BAILLY Roger Nicolas Charles 1926 Ebersviller (Moselle)
BALBIERER Joseph 1919 Schirrhein (Bas-Rhin)
BALD Albert Ernest Charles 1922 Krautwiller (Bas-Rhin)
BALDAUF Charles 1925 Bischwiller (Bas-Rhin)
BALL Bernard 1911 Aschbach (Bas-Rhin)
BALL Charles Georges 1926 Oberrœdern (Bas-Rhin)
BALL Charles Léon 1923 Schiltigheim (Bas-Rhin)
BALL Joseph 1926 Oberrœdern (Bas-Rhin)
BALL René 1917 Stundwiller (Bas-Rhin)
BALLAST Marcel Joseph 1923 Mulhouse (Haut-Rhin)
BALLIS Emile 1921 Woerth (Bas-Rhin)
BALLIS Louis 1914 Woerth (Bas-Rhin)
BALLY Willy 1919 Sulzbach (Allemagne)
BALMER Georges Jacques 1924 Niederbronn-les-Bains (Bas-Rhin)
BALMER Paul 1923 Colmar (Haut-Rhin)
BALTENBERGER Joseph Charles Robert 1928 Munster (Haut-Rhin)
BALTES Jean Pierre 1921 Basse-Yutz (Moselle)
BALTES Christophe Marcel 1925 Schœneck (Moselle)
BALTHAZARD André Augustin 1920 Orbey (Haut-Rhin)
BALTZER Frédéric 1912 Uttwiller (Bas-Rhin)
BALTZER Henri 1913 Mulhausen (Bas-Rhin)
BALTZINGER Emile Pierre 1915 Barr (Bas-Rhin)
BALTZLI Philippe 1913 Strasbourg (Bas-Rhin)
BALVA Camille 1922 Nousseviller-Saint-Nabor (Moselle)
BALZER Jean Georges 1923 Olwisheim (Bas-Rhin)
BALZER Oswald 1918 Lorraine
BALZERT Henri 1925 Alsace-Lorraine
BAMBERGER Alfred 1924 Strasbourg (Bas-Rhin)
BANGRATZ Charles 1908 Strasbourg (Bas-Rhin)
BANGRATZ Charles Alfred 1920 Strasbourg (Bas-Rhin)
BANHOLTZER André 1925 Kingersheim (Haut-Rhin)
BANNWARTH Alfred Philippe 1908 Obermorschwihr (Haut-Rhin)
BANNWARTH Emile Joseph 1920 Steinbrunn-le-Haut (Haut-Rhin)
BANNWARTH Fernand Gilbert Rodolphe 1926 Colmar (Haut-Rhin)
BANNWARTH Jean Adolphe 1923 Colmar (Haut-Rhin)
BANNWARTH Louis René 1908 Colmar (Haut-Rhin)
BANWARTH René Jean 1911 Mulhouse (Haut-Rhin)
BANZET Charles 1908 Metz (Moselle)
BANZET Jean 1913 La Broque (Bas-Rhin)
BAPST Alois Jean 1910 Westhouse (Bas-Rhin)
BAPST Arthur Valentin 1922 Plobsheim (Bas-Rhin)
BAPST Geoffroy Martin 1919 Plobsheim (Bas-Rhin)
BAPST Jean Émile 1919 Obernai (Bas-Rhin)
BAR Gabriel Auguste dit Léon 1914 Grosbliederstroff (Moselle)
BARADEL Pierre 1904 Alsace-Lorraine
BARB Eugène 1920 Wasserbourg (Haut-Rhin)
BARBA Jean Charles 1925 Metz (Moselle)
BARBA Joseph Armand 1922 Hayange (Moselle)
BARBARAS Clément Charles 1926 Sarrebourg (Moselle)
BARBARAS René 1922 Strasbourg (Bas-Rhin)
BARBERGER François Joseph 1915 Heimersdorf (Haut-Rhin)
BARBERGER Joseph Alfred Alphonse 1914 Altkirch (Haut-Rhin)
BARBIER Charles 1925 Battenheim (Haut-Rhin)
BARBIER Marcel 1920 Uckange (Moselle)
BARBIER Robert Joseph 1926 Haboudange (Moselle)
BARBISCH Albert 1916 Nambsheim (Haut-Rhin)
BARDOL Charles 1911 Schweighouse (Haut-Rhin)
BARISY Jean-Claude 1925 Schiltigheim (Bas-Rhin)
BARISY Robert François 1920 Strasbourg (Bas-Rhin)
BARLIER Henri 1907 Lieu inconnu
BARLIER Marcel Jean Pierre 1908 Fréland (Haut-Rhin)
BARLIER René 1906 Sainte-Marie-aux-Mines (Haut-Rhin)
BARON Guy Joseph 1926 Colmar (Haut-Rhin)
BARON Lucien 1923 Strasbourg (Bas-Rhin)
BARTH Auguste Marcel 1922 Strasbourg (Bas-Rhin)
BARTH Charles 1921 Strasbourg (Bas-Rhin)
BARTH Charles Philippe 1921 Quatzenheim (Bas-Rhin)
BARTH Ernest Cyriac 1916 Wiwersheim (Bas-Rhin)
BARTH Etienne Joseph 1925 Soufflenheim (Bas-Rhin)
BARTH Georges Guillaume 1917 Bust (Bas-Rhin)
BARTH Jean Joseph Michel 1925 Bennwihr (Haut-Rhin)
BARTH Joseph 1904 Strasbourg (Bas-Rhin)
BARTH Joseph Albert 1911 Cernay (Haut-Rhin)
BARTH Lucien 1923 Lochwiller (Bas-Rhin)
BARTH René Alphonse 1925 Thionville (Moselle)
BARTH René Joseph 1925 La Walck (Bas-Rhin)
BARTHEL Adrien Nicolas 1923 Gandrange (Moselle)
BARTHEL Albert Frédéric 1915 Scharrachbergheim (Bas-Rhin)
BARTHEL Albert Jean 1918 Strasbourg (Bas-Rhin)
BARTHEL Alfred 1923 Blienschwiller (Bas-Rhin)
BARTHEL Charles Eugène 1915 Sélestat (Bas-Rhin)
BARTHEL Emile 1910 Mittelhausen (Bas-Rhin)
BARTHEL Jean Charles 1922 Strasbourg (Bas-Rhin)
BARTHEL Joseph 1923 Hunting (Moselle)
BARTHEL Joseph 1926 Zetting (Moselle)
BARTHEL Lucien Henri 1910 Schiltigheim (Bas-Rhin)
BARTHEL Raymond 1921 Gandren (Moselle)
BARTHELEMY Jean Pierre 1917 Colmar (Haut-Rhin)
BARTHELEMY Marcel François 1927 Wallerfangen (Allemagne)
BARTHELEMY Marius Désiré 1924 Dieuze (Moselle)
BARTHELME François Xavier Robert 1920 Schaeffersheim (Bas-Rhin)
BARTHELME Marcel 1914 Kertzfeld (Bas-Rhin)
BARTHELME René Joseph 1925 Schaeffersheim (Bas-Rhin)
BARTHELMEBS Camille Raymond 1924 Herbsheim (Bas-Rhin)
BARTHELMEBS Charles Julien 1916 Herbsheim (Bas-Rhin)
BARTHELMEBS Pierre 1924 Herbsheim (Bas-Rhin)
BARTHLEN Antoine 1921 Uffholtz (Haut-Rhin)
BARTHLEN Xavier 1923 Uffholtz (Haut-Rhin)
BARTHOLME Jacques Gustave 1926 Bischheim (Bas-Rhin)
BARTHOLOMAE Raymond Roger 1912 Mulhouse (Haut-Rhin)
BARTHOLOME Eugène 1925 Weitbruch (Bas-Rhin)
BARTHOLOME René 1920 Weitbruch (Bas-Rhin)
BARTMANN Henri Alfred 1921 Bischwiller (Bas-Rhin)
BARUDIO René Joseph 1914 Holtzheim (Bas-Rhin)
BARXELL Charles Auguste 1922 Haguenau (Bas-Rhin)
BASCH Xavier Joseph 1923 Rœschwoog (Bas-Rhin)
BASS Léon François 1922 Rouffach (Haut-Rhin)
BASS Louis Charles 1925 Colmar (Haut-Rhin)
BASS Lucien 1922 Appenwihr (Haut-Rhin)
BASSLER Yvan 1924 Petit-Landau (Haut-Rhin)
BAST Pierre Nicolas 1926 Neunkirch-lès-Sarreguemines (Moselle)
BASTIAN Albert 1912 Reimerswiller (Bas-Rhin)
BASTIAN Emile Pierre 1922 Saint-Privat (Moselle)
BASTIAN Erwin 1914 Rosteig (Bas-Rhin)
BASTIAN Georges 1920 Mietesheim (Bas-Rhin)
BASTIAN Georges Valentin 1921 Wintzenheim-Kochersberg (Bas-Rhin)
BASTIAN Joseph Georges 1913 Niederschaeffolsheim (Bas-Rhin)
BASTIAN Marcel 1913 Gumbrechtshoffen (Bas-Rhin)
BASTIAN Marcel René 1923 Strasbourg (Bas-Rhin)
BASTIAN Michel Jean Philippe 1920 Strasbourg (Bas-Rhin)
BASTIAN Raymond Antoine 1925 Bitschhoffen (Bas-Rhin)
BASTIAN René Frédéric 1912 Niederbetschdorf (Bas-Rhin)
BASTIAN René Guillaume 1916 Frankfurt-am-Main (Allemagne)
BASTIEN André Louis 1920 Rosselange (Moselle)
BASTIEN Fernand Adolphe Théophile 1926 Lindre-Haute (Moselle)
BASTIEN François Pierre 1926 Valmestroff (Moselle)
BASTIEN Paul Louis 1921 Vahl-lès-Faulquemont (Moselle)
BASTIEN René Aimé 1908 Fréland (Haut-Rhin)
BASTIEN René Paul Jules Eugène 1922 Metz (Moselle)
BASY Edouard Charles 1911 Dorlisheim (Bas-Rhin)
BATAFFI Auguste 1916 Edenkoben (Allemagne)
BATH Camille 1914 Strasbourg (Bas-Rhin)
BATH René Joseph 1923 Basse-Yutz (Moselle)
BATO Albert 1919 Wihr-au-Val (Haut-Rhin)
BATO Fernand Léon 1923 Mittlach (Haut-Rhin)
BATO Joseph 1909 Mulhouse (Haut-Rhin)
BATOT Camille Félix 1922 Orbey (Haut-Rhin)
BATT Edouard Laurent 1921 Colmar (Haut-Rhin)
BATT Jean Baptiste 1923 Mertzwiller (Bas-Rhin)
BATT Joseph 1912 Eschbach (Bas-Rhin)
BATT Paul Julien 1926 Grendelbruch (Bas-Rhin)
BATTENHAUSER Ferdinand 1919 Storckensohn (Haut-Rhin)
BATTINGER François Jules Léonard 1921 Mertzen (Haut-Rhin)
BATZENSCHLAGER Louis Ferdinand 1914 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUER Albert 1921 Butten (Bas-Rhin)
BAUER Albert Philippe 1926 Lorentzen (Bas-Rhin)
BAUER Alfred Etienne Gaston 1926 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUER Antoine Désiré Emile 1924 Sélestat (Bas-Rhin)
BAUER Arthur Jacques Henri 1913 Bischtroff-sur-Sarre (Bas-Rhin)
BAUER Arthur Jean Maurice 1926 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUER Auguste Jean 1919 Schiltigheim (Bas-Rhin)
BAUER Camille 1924 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAUER Charles 1920 Merlebach (Moselle)
BAUER Charles 1924 Wissembourg (Bas-Rhin)
BAUER Charles 1925 Gœrsdorf (Bas-Rhin)
BAUER Charles Jean 1910 Wegscheid (Haut-Rhin)
BAUER Emile 1919 Dehlingen (Bas-Rhin)
BAUER Emile 1920 Weyer (Bas-Rhin)
BAUER Emile Antoine 1910 Oermingen (Bas-Rhin)
BAUER Ernest Jacques 1914 Sarreguemines (Moselle)
BAUER Erwin Philippe 1914 Rémelfing (Moselle)
BAUER Eugène 1924 Ostwald (Bas-Rhin)
BAUER Eugène Antoine 1921 Morschwiller-le-Bas (Haut-Rhin)
BAUER Eugène Georges 1923 Sélestat (Bas-Rhin)
BAUER Frédéric 1913 Bouxwiller (Bas-Rhin)
BAUER Georges Louis 1927 Drulingen (Bas-Rhin)
BAUER Henri 1912 Diedendorf (Bas-Rhin)
BAUER Henri 1921 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAUER Henri Edouard 1919 Bischwiller (Bas-Rhin)
BAUER Henri Georges 1913 Diemeringen (Bas-Rhin)
BAUER Henri René Albert 1920 Bâle (Suisse)
BAUER Jacques 1914 Gœrsdorf (Bas-Rhin)
BAUER Jacques 1923 Wissembourg (Bas-Rhin)
BAUER Jean Auguste 1910 Mulhausen (Bas-Rhin)
BAUER Jean Victor 1925 Houssen (Haut-Rhin)
BAUER Joseph 1921 Bindernheim (Bas-Rhin)
BAUER Joseph 1923 Obersteinbach (Bas-Rhin)
BAUER Joseph 1924 Lembach (Bas-Rhin)
BAUER Joseph André 1914 Niederschaeffolsheim (Bas-Rhin)
BAUER Laurent 1921 Butten (Bas-Rhin)
BAUER Marcel 1922 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUER Marcel Jean 1919 Sélestat (Bas-Rhin)
BAUER Mathis 1913 Sundhoffen (Haut-Rhin)
BAUER Michel Georges Raymond 1924 Metz (Moselle)
BAUER Paul 1925 Herbitzheim (Bas-Rhin)
BAUER Paul Jacques 1922 Marmoutier (Bas-Rhin)
BAUER Philippe 1909 Lampertsloch (Bas-Rhin)
BAUER Roger Marcel Célestin 1922 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAUER Théodore Jacques 1914 Diedendorf (Bas-Rhin)
BAUERLE Jacques 1919 Offwiller (Bas-Rhin)
BAUERMANN Marcel Lucien Charles 1921 Ribeauvillé (Haut-Rhin)
BAUM Auguste 1920 Illkirch-Graffestaden (Bas-Rhin)
BAUM Joseph René 1913 Mulhausen (Bas-Rhin)
BAUMANN Alfred 1922 Attenschwiller (Haut-Rhin)
BAUMANN Alfred 1922 Waldhambach (Bas-Rhin)
BAUMANN Alphonse 1925 Steinbrunn-le-Haut (Haut-Rhin)
BAUMANN André Nicolas Isidore 1923 Widensolen (Haut-Rhin)
BAUMANN Emile 1914 Lembach (Bas-Rhin)
BAUMANN Emile 1922 Attenschwiller (Haut-Rhin)
BAUMANN Eugène 1924 Kesseldorf (Bas-Rhin)
BAUMANN Eugène Antoine 1924 Richwiller (Haut-Rhin)
BAUMANN Frédéric 1909 Lembach (Bas-Rhin)
BAUMANN Georges 1914 Oberhoffen-sur-Moder (Bas-Rhin)
BAUMANN Jacques 1919 Altenstadt (Bas-Rhin)
BAUMANN Jean 1919 Altenstadt (Bas-Rhin)
BAUMANN Jean 1924 Soultzmatt (Haut-Rhin)
BAUMANN Jean Adolphe 1924 Longeville-lès-Metz (Moselle)
BAUMANN Jean Jacques 1925 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUMANN Joseph 1912 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAUMANN Joseph Paul 1915 Altenstadt (Bas-Rhin)
BAUMANN Joseph 1919 Bartenheim (Haut-Rhin)
BAUMANN Laurent 1914 Colmar (Haut-Rhin)
BAUMANN Louis 1914 Colmar (Haut-Rhin)
BAUMANN Louis 1922 Bâle (Suisse)
BAUMANN Lucien Martin 1921 Nordhouse (Bas-Rhin)
BAUMANN René 1926 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUMANN Robert Charles 1920 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAUMANN Roger Raymond Joseph 1909 Haguenau (Bas-Rhin)
BAUMBACH Alfred Guillaume 1921 Colmar (Haut-Rhin)
BAUMERT Charles Edouard 1909 Ribeauvillé (Haut-Rhin)
BAUMERT Lucien Antoine 1910 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAUMERT Martin Paul 1918 Hilsenheim (Bas-Rhin)
BAUMGAERTNER Robert 1911 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUMGART Frédéric 1923 Soultzeren (Haut-Rhin)
BAUMGART Rodolphe Henri 1920 Sarreguemines (Moselle)
BAUMGARTEN Joseph 1924 Rémelfing (Moselle)
BAUMGARTEN Pierre Victor 1927 Metz (Moselle)
BAUMGARTH Ernest 1917 Friesenheim (Bas-Rhin)
BAUMGARTHEN Georges Eugène 1914 Haguenau (Bas-Rhin)
BAUMGARTNER Edouard 1916 Kriegsheim (Bas-Rhin)
BAUMGARTNER Emile Eugène 1922 Phalsbourg (Moselle)
BAUMGARTNER Ernest Emile 1908 Guebwiller (Haut-Rhin)
BAUMGARTNER Louis 1910 Hirtzfelden (Haut-Rhin)
BAUMLIN André Etienne 1922 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUMLIN Camille Joseph 1916 Franken (Haut-Rhin)
BAUMLIN Edouard 1913 Rosenau (Haut-Rhin)
BAUMLIN Eugène 1912 Hésingue (Haut-Rhin)
BAUMLIN René 1924 Village-Neuf (Haut-Rhin)
BAUR Alexandre Henri 1911 Guebwiller (Haut-Rhin)
BAUR Emile Pierre 1922 Entrange (Moselle)
BAUR Fernand Raymond 1925 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUR Gilbert Louis Adolphe 1909 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAUR Henri Achille 1909 Lutterbach (Haut-Rhin)
BAUR Joseph Eugène 1909 Bernwiller (Haut-Rhin)
BAUR Lucien 1908 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAUS Léon 1920 Hohengœft (Bas-Rhin)
BAUSTETTER Emile Eugène 1913 Mulhouse (Haut-Rhin)
BAUTZ Edouard Charles 1923 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAYER Edouard Charles 1911 Bischheim (Bas-Rhin)
BAYER Emile 1916 Freistroff (Moselle)
BAYER Georges Arthur Eric 1916 Wissembourg (Bas-Rhin)
BAYER Georges François 1923 Strasbourg (Bas-Rhin)
BAYER Marcel René 1924 Basse-Yutz (Moselle)
BAYHURST Joseph Louis 1925 Soultz-Sous-Forêts (Bas-Rhin)
BEAUGRAND Emile Joseph 1922 Nilvange (Moselle)
BEBON Charles Joseph 1924 Haguenau (Bas-Rhin)
BECHELEN François Henri 1920 Steinbach (Haut-Rhin)
BECHER Pierre 1923 Hambach (Moselle)
BECHETER Jean Charles Léon 1913 Metz ( Moselle)
BECHINGER Pierre 1906 Wissembourg (Bas-Rhin)
BECHLER Jean 1915 Colmar (Haut-Rhin)
BECHLER Marcel 1921 Colmar (Haut-Rhin)
BECHLER Othon 1922 Gerstheim (Bas-Rhin)
BECHLER René 1923 Colmar (Haut-Rhin)
BECHLER René 1924 Strasbourg (Bas-Rhin)
BECHT Pierre Nicolas 1916 Neufchef (Moselle)
BECHT Théodore Paul 1920 Dorlisheim (Bas-Rhin)
BECHTEL Aloïse 1915 Haguenau (Bas-Rhin)
BECHTEL Charles 1909 Mothern (Bas-Rhin)
BECHTEL Joseph Georges 1915 Osthouse (Bas-Rhin)
BECHTOLDT Ernest Edouard 1918 Balbronn (Bas-Rhin)
BECK Alfred Georges 1922 Brumath (Bas-Rhin)
BECK Charles Aloïse 1924 Scherwiller (Bas-Rhin)
BECK Edmond Alphonse 1925 Gros-Réderching (Moselle)
BECK Emile Albert 1915 Gros-Réderching (Moselle)
BECK Frédéric Jacques 1923 Amnéville (Moselle)
BECK Georges 1924 Oberdorf-Spachbach (Bas-Rhin)
BECK Georges Henri 1924 Strasbourg (Bas-Rhin)
BECK Georges Philippe 1923 Obersoultzbach (Bas-Rhin)
BECK Jean 1921 Nousseviller (Moselle)
BECK Jean Albert 1926 Rombas (Moselle)
BECK Jean Pierre 1922 Mulhouse (Haut-Rhin)
BECK Jean Simon 1920 Kembs (Haut-Rhin)
BECK Léon Auguste 1923 Strasbourg (Bas-Rhin)
BECK Lucien François Paul 1923 Carspach (Haut-Rhin)
BECK Marcel Alphonse 1920 Strasbourg (Bas-Rhin)
BECK Pierre Paul 1919 Lauw (Haut-Rhin)
BECK René Emile 1922 Strasbourg (Bas-Rhin)
BECKENDORF François 1927 Nilvange (Moselle)
BECKER Adolphe Nicolas Frédéric 1926 Moyeuvre-Grande (Moselle)
BECKER Aimé 1925 Bergheim (Haut-Rhin)
BECKER Albert 1910 Schiltigheim (Bas-Rhin)
BECKER Albert Philippe 1925 Thionville (Moselle)
BECKER Alfred Adolphe 1927 Hellering-lès-Fénétrange (Moselle)
BECKER Alfred Louis 1918 Lichtenberg (Bas-Rhin)
BECKER Alphonse Joseph Auguste 1920 L’Hôpital (Moselle)
BECKER Alphonse Marcel 1923 Moyeuvre-Grande (Moselle)
BECKER Antoine 1913 Herrlisheim (Bas-Rhin)
BECKER Arthur 1912 Strasbourg (Bas-Rhin)
BECKER Auguste Joseph 1913 Strasbourg (Bas-Rhin)
BECKER Charles André Werner 1915 Petite-Rosselle (Moselle)
BECKER Charles Louis 1923 Petersbach (Bas-Rhin)
BECKER Charles Michel 1925 Neufchef (Moselle)
BECKER Emile Henri 1920 Petersbach (Bas-Rhin)
BECKER Emile François Emmanuel 1920 Montigny-lès-Metz (Moselle)
BECKER Ernest Georges 1915 Sessenheim (Bas-Rhin)
BECKER Ernest Louis 1908 Strasbourg (Bas-Rhin)
BECKER Eugène 1920 Oermingen (Bas-Rhin)
BECKER Georges 1911 Oberseebach (Bas-Rhin)
BECKER Guillaume 1913 Hirschland (Bas-Rhin)
BECKER Henri Philippe René 1919 Diemeringen (Bas-Rhin)
BECKER Isidore Jean Baptiste 1916 Meisenthal (Moselle)
BECKER Jean Joseph Antoine 1924 Metz (Moselle)
BECKER Joseph 1911 Herrlisheim (Bas-Rhin)
BECKER Joseph 1912 Strasbourg (Bas-Rhin)
BECKER Joseph Georges 1927 Béning-lès-Saint-Avold (Moselle)
BECKER Joseph Gérard 1920 Lixhausen (Bas-Rhin)
BECKER Joseph Victor 1920 Gomelange (Moselle)
BECKER Julien Guillaume 1926 Fontoy (Moselle)
BECKER Lucien 1915 Colmar (Haut-Rhin)
BECKER Marcel Paul 1923 Knutange (Moselle)
BECKER Martin 1923 Oberseebach (Bas-Rhin)
BECKER René 1912 Wangen (Bas-Rhin)
BECKER Rodolphe Henri 1914 Thionville (Moselle)
BECKER Roger 1927 Petite-Rosselle (Moselle)
BECKER Roger Emile 1924 Metzervisse (Moselle)
BECKER Roger Joseph 1926 Petite-Rosselle (Moselle)
BECKER Théodore 1924 Longeville-lès-Saint-Avold (Moselle)
BECKERICH Georges Auguste 1926 Sarreguemines (Moselle)
BECKMANN Georges René 1921 Schiltigheim (Bas-Rhin)
BECKRICH Pierre Auguste 1922 Basse-Yutz (Moselle)
BEDERSTORFER Alfred Henri 1926 Haut-Ham (Moselle)
BEDERSTORFER Marcel Pierre 1924 Basse-Ham (Moselle)
BEDEZ Jean Baptiste Emile 1924 Lapoutroie (Haut-Rhin)
BEDEZ Jean Paul 1908 Lièpvre (Haut-Rhin)
BEDEZ Jules Antoine 1922 Orbey (Haut-Rhin)